Un gars accoudé au bar raconte à la cantonade
– Hier soir, vers deux heures du matin, une forte odeur de fumée me réveille et je me
rends compte qu’il y a le feu dans mon appartement. Je me précipite,
au milieu des flammes et de la fumée, pour sauver ma belle-mère qui dormait dans la chambre à côté.
Et parmi les habitués, quelqu’un ajoute
– Eh oui, en de telles circonstances, on perd facilement la tête.