Dans le dernier numéro du magazine américain « Meat and Poultry », la rédaction cite avec délectation un article récent de la revue
« Feathers », organe de la Fédération de l’industrie de la volaille de Californie,
où l’on conte l’intéressante (et véridique !) histoire suivante
L’administration aéronautique fédérale américaine (FAA) a un moyen unique de tester la résistance des pare-brise d’avions.
Le système est composé d’un pistolet qui lance des poulets morts sur les dits pare-brise à la vitesse approximative d’un avion en vol.
La théorie est simple
si le pare-brise résiste à l’impact de la carcasse, il devrait survivre à une véritable collision avec un oiseau vivant.
Les Français se sont montrés très intéressés et ont décidé ainsi de tester la résistance des pare-brises du nouveau
modèle de TGV qu’ils sont en train de développer. Ils ont donc emprunté le lanceur de poulet américain,
l’ont chargé et ont fait feu. Le poulet sol-sol a explosé la vitre du train, traversé le fauteuil du mécano,
défoncé la console d’instrument de bord avant de s’encastrer dans le panneau arrière de la cabine de pilotage.
Les Français un peu surpris, ont alors demandé à la FAA de vérifier la validité de leur test. La FAA s’est donc livrée à
un examen de la procédure pour aboutir à la recommandation suivante : IL FAUT DÉCONGELER LE POULET